Présentation des personnages

Bienvenue dans l’univers de Cléa Parapluie. Venez, approchez ! Nous allons vous présenter Cléa et ses amis.

Mademoiselle Cléa Parapluie
Cléa Parapluie, une jeune étudiante partie vivre au Japon

Charmante jeune fille, Cléa a toujours été passionnée par le Japon et a enfin pris son courage à deux mains : elle a décidé de partir seule vivre un an à Uji grâce à un Visa Vacances Travail. Cléa habite dans une grande maison, un peu à l’écart du centre de la ville. L’endroit abrite également la propriétaire, sa fille et leur chat bizarre ainsi qu’une deuxième locataire. Très motivée, Cléa ne perd pas de temps et se présente pour un emploi dans une boulangerie.

Yamanaka Fudeko-san

Yamanaka Fudeko, famille d'accueil de Cléa à Kyoto

Inspiré de l’estampe « Le bateau enneigé » de Tosa Mitsuoki (1617-1691)

Vieille femme un peu étrange et mystérieuse, Yamanaka-san est née et a vécu toute sa vie dans une grande maison à Uji. La demeure accueillait Yamanaka-san et sa fille Shizuka-san jusqu’à ce qu’elles décident de prendre des locataires pour y mettre un peu de vie.

Yamanaka Shizuka-san
Yamanaka Shizuka, fille de Fudeko de nature timide

Inspiré de l’estampe « Mont Fuji et cerisiers en fleurs » de Katsushika Hokusai (1760-1849)

À 39 ans, Shizuka-san vit seule avec sa mère pour laquelle elle se plie en quatre quotidiennement. Elles louent ensemble des chambres chez l’habitant, et Shizuka aime prendre soin de ses locataires. Plutôt solitaire, Shizuka-san est une femme de caractère au tempérament doux.

Sora

Bake neko, chat yôkai vivant dans la maison des Yamanaka

Inspiré de l’estampe « Dame Murasaki Shikibu » par Tosa Mitsuoki (1617-1691)

Ce chat est encore un peu plus bizarre que les chats habituels. Il possède deux queues et ses jouets favoris sont des petits ossements qu’il secoue curieusement. La couleur de son pelage change en fonction de la météo.

Mori Kaname-san

Mori Kaname, une musicienne et sprécialiste du kimono

Inspiré d’une estampe de Tosa Mitsuoki (1617-1691)

Passionnée par la musique qui occupe tout son temps et qui emplit la maison des Yamanaka où elle loue une chambre, Kaname-san est une vieille fille qui s’assume. Contrairement à Yamanaka-san et sa fille, elle parle un peu l’anglais.

Kasa obake

Kasabake, un parapluie yôkai qui suit partout Cléa

Inspiré de « Yûgao » de Tosa Mitsuoki (1617-1691)

Reconnaissable entre tous grâce à sa bonne heure et les « youpi ! » qu’il pousse sans arrêt, le kasa obake est un yôkai aux origines mystérieuses. Néanmoins, celui-là a été envoyé à Cléa par trois jizô, les gardiens des enfants et des voyageurs, qui décidèrent de lui venir en aide quand ils la virent errer, perdue dans la ville d’Uji.Comme c’est un objet doué d’un esprit, il a parfois des idées alambiquées et des comportements qui peuvent paraître étranges. Mais c’est un bon esprit !

Au sujet des illustrations

Un dernier mot sur les illustrations très stylisées qu’offre Orianne à nos petits yeux ébahis ! Elles sont inspirées des emaki, le système japonais de narration illustrée grâce à des rouleaux peints, et ancêtres des mangas, qui accompagnent le texte de l’œuvre littéraire japonaise la plus importante : Genji monogatari ou Le Dit du Genji. Écrit au XIe siècle par dame Murasaki Shikibu, ce livre narre la vie du prince Genji à la cour impériale durant la période Heian (794 – 1185) à Kyôto. Complots, amours et trahisons sont au programme et la poésie de ce récit en fait une œuvre du patrimoine littéraire mondial. Et ce n’est pas tout ! La troisième et dernière partie de ce livre est également connue sous le nom « Partie Uji » ou Uji jûjô. Souhaitons à Cléa autant d’aventures que le radieux prince Genji !

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